Palabre et coopération chez le président de l’association

de village Tifaout

 

Au repas l’atmosphère n’est pas à l’allégresse, une réunions est prévue sur le champ. Tous les acteurs sont sollicités avec 2 représentants de Tifaout. Nous sommes environ 35. Véronique demande à chacun de d’exprimer :

  •  Pour Turbulence : ils ne se sentent pas très utiles, les 3 chantiers intérieurs ne leur a pas apporté le sentiment d’utilité attendue. Les échanges avec « le pays » ne sont pas ce qu’ils attendaient, cette expression générale est toutefois à nuancer, les techniciens étant plus à l’aise mais les positions de ESF leur paraissent un peu abruptes et « terre à terre ».

 

  • Les jeunes marocains ne sont pas mécontents en général de leur formation sauf un cas particulier demandeur de formation « pressée ». J’interviens pour préciser que l’essentiel est que ce groupe doit arriver à réussir un chantier en autonomie depuis l’étude jusqu’à la mise en service ce qui est essentiel.


La participation à la discussion de « migration développement » est très active ; nous ne « suivons » pas toujours mais l’ambiance est perçue.